
Le 777 de Boeing, dont l’équipage comptait neuf agents de bord et un pilote d’origine autochtone, transportait plusieurs membres de la Coalition de Premières Nations pour les grands projets venus de partout en Colombie-Britannique et au Yukon, qui se rendaient à la 8e conférence annuelle de cette organisation (site en anglais seulement).
Avant l’embarquement, Mary Point, directrice des relations avec les peuples autochtones de l’administration aéroportuaire de Vancouver, a réalisé à bord de l’appareil un rituel autochtone de purification avec du cèdre, qui a été suivi par des discours de bienvenue prononcés par Mary, Steve Saddleback, de la Coalition, et Jim Hemsworth, d’Air Canada. Mary a ensuite interprété le chant traditionnel des pagayeurs musqueam, symbolisant le lien culturel, un accueil pour tous et une bénédiction avant un voyage important, avant de mener les passagers à bord de l’avion.
Avant l’embarquement, Mary Point, directrice des relations avec les peuples autochtones de l’administration aéroportuaire de Vancouver, a réalisé à bord de l’appareil un rituel autochtone de purification avec du cèdre, qui a été suivi par des discours de bienvenue prononcés par Mary, Steve Saddleback, de la Coalition, et Jim Hemsworth, d’Air Canada. Mary a ensuite interprété le chant traditionnel des pagayeurs musqueam, symbolisant le lien culturel, un accueil pour tous et une bénédiction avant un voyage important, avant de mener les passagers à bord de l’avion.

Jim Sa’ke’j Hemsworth est membre de la Nation mi’gmaq, et il est le chef de service – Relations et Réconciliation avec les peuples autochtones d’Air Canada. Jim et le groupe-ressources d’employés Les Autochtones à Air Canada travaillent à faire progresser des initiatives visant notamment à créer des débouchés pour les Autochtones, à promouvoir leur éducation et à honorer leurs cultures.
L’une de ces initiatives est d’ailleurs menée en collaboration avec la Coalition, qui est un organisme sans but lucratif soutenant ses membres autochtones à l’aide d’outils pour promouvoir la croissance économique, la protection de l’environnement et l’amélioration des politiques publiques. Dans le cadre de cette collaboration, le vol AC34 visait à célébrer les employés autochtones d’Air Canada et à souligner les réalisations professionnelles des Autochtones dans le secteur de l’aviation.
« Ce vol favorise l’inclusion des Autochtones, met à l’honneur les cultures autochtones et constitue un exemple de la manière dont on peut soutenir la participation des Autochtones dans les secteurs d’activité, a déclaré Jim. Il s’agit d’un message clair en faveur du progrès et de l’inclusion. »
Offrir des remerciements et exprimer de la gratitude est l’un des éléments fondamentaux des rassemblements entre les communautés autochtones. Dans cet esprit, Jim a offert ses remerciements avant le vol :
« Aux membres de la Nation musqueam, merci de nous accueillir sur vos terres. Votre rituel du cèdre et les chansons que vous nous avez présentées sont des cadeaux pour lesquels nous vous sommes profondément reconnaissants.
« Nous remercions du fond du cœur les membres autochtones de notre équipage, qui assureront notre sécurité pendant le vol d’aujourd’hui. Ce faisant, vous honorez un héritage de soin et de protection que nos ancêtres ont maintenu lorsque les premiers Européens sont arrivés sur ces terres – une tradition que nous continuons fièrement à mettre en œuvre chaque jour à Air Canada.
« À ceux qui sont venus avant nous : nous vous devons notre existence; et aux sept prochaines générations : puisse notre travail être aussi significatif et avoir autant d’impact que le travail de ceux qui nous ont précédés.
« Je suis très reconnaissant pour tout cela, alors je dis Wela’lioq et Nmultis. »
Air Canada reconnaît que la réconciliation est un processus, et nous nous engageons à apprendre, à demander des conseils et à favoriser des relations respectueuses. Le réseau d’Air Canada traverse de nombreuses terres visées par des traités, ainsi que les territoires non cédés et traditionnels de nations et gouvernements autochtones de l’Île de la Tortue (autrement dit, l’Amérique du Nord). Ce faisant, Air Canada reconnaît les terres ancestrales et traditionnelles des peuples autochtones qu’elle survole.
L’une de ces initiatives est d’ailleurs menée en collaboration avec la Coalition, qui est un organisme sans but lucratif soutenant ses membres autochtones à l’aide d’outils pour promouvoir la croissance économique, la protection de l’environnement et l’amélioration des politiques publiques. Dans le cadre de cette collaboration, le vol AC34 visait à célébrer les employés autochtones d’Air Canada et à souligner les réalisations professionnelles des Autochtones dans le secteur de l’aviation.
« Ce vol favorise l’inclusion des Autochtones, met à l’honneur les cultures autochtones et constitue un exemple de la manière dont on peut soutenir la participation des Autochtones dans les secteurs d’activité, a déclaré Jim. Il s’agit d’un message clair en faveur du progrès et de l’inclusion. »
Offrir des remerciements et exprimer de la gratitude est l’un des éléments fondamentaux des rassemblements entre les communautés autochtones. Dans cet esprit, Jim a offert ses remerciements avant le vol :
« Aux membres de la Nation musqueam, merci de nous accueillir sur vos terres. Votre rituel du cèdre et les chansons que vous nous avez présentées sont des cadeaux pour lesquels nous vous sommes profondément reconnaissants.
« Nous remercions du fond du cœur les membres autochtones de notre équipage, qui assureront notre sécurité pendant le vol d’aujourd’hui. Ce faisant, vous honorez un héritage de soin et de protection que nos ancêtres ont maintenu lorsque les premiers Européens sont arrivés sur ces terres – une tradition que nous continuons fièrement à mettre en œuvre chaque jour à Air Canada.
« À ceux qui sont venus avant nous : nous vous devons notre existence; et aux sept prochaines générations : puisse notre travail être aussi significatif et avoir autant d’impact que le travail de ceux qui nous ont précédés.
« Je suis très reconnaissant pour tout cela, alors je dis Wela’lioq et Nmultis. »
Air Canada reconnaît que la réconciliation est un processus, et nous nous engageons à apprendre, à demander des conseils et à favoriser des relations respectueuses. Le réseau d’Air Canada traverse de nombreuses terres visées par des traités, ainsi que les territoires non cédés et traditionnels de nations et gouvernements autochtones de l’Île de la Tortue (autrement dit, l’Amérique du Nord). Ce faisant, Air Canada reconnaît les terres ancestrales et traditionnelles des peuples autochtones qu’elle survole.