communiqué de l'ACTA

L’ACTA juge intéressant le concept de mandant-mandataire mis de l’avant par Nolitours mais demeure fortement convaincue que l’environnement de ventes de voyages au
détail dans lequel évoluent ses membres ne peut survivre dans un contexte de 8 % de commission et est fortement préoccupée par l’effet d’entraînement que cette décision a commencé à provoquer.
Avant de prendre position et face aux inquiétudes de ses membres soulevées par l’annonce de Nolitours de plafonner les commissions à 8 %, l’ACTA a cherché à mieux comprendre la stratégie ayant mené à cette action et a en conséquence invité Philippe Sureau, Directeur Distribution chez Transat, a rencontrer les membres du Conseil Régional le 1er septembre dernier.
Soyons clair, le mandat de l’ACTA n’est pas d’intervenir dans les négociations d’affaires de ses membres mais de représenter l’industrie et d’en défendre les intérêts en vue de favoriser la création et le soutien des activités commerciales propice à l'épanouissement de l'industrie.
Or nous ne croyons pas qu’un cadre généralisé de 8% de commission puisse être propice à l’épanouissement de l’industrie.
« La question que nous posons est celle-ci : La stratégie autour du concept de mandant-mandataire vise à assainir le marché de la vente du voyage au Canada mais est-il nécessaire de s’attaquer aux marges bénéficiaires, déjà minces, pour faire valoir cette nouvelle approche, par ailleurs intéressante? Pourquoi choisir de pénaliser si fortement tout le réseau de ventes du détail qui constitue, et de loin, le principal canal de distribution de produits pour les grossistes, donc leur principal partenaire? » commente Jean Collette le président du Conseil régional de l’ACTA au Québec.
Pour l’ACTA, ces enjeux sont importants. Nous nous questionnons sur la valeur des récents
développements et nous invitons les propriétaires de produits à étudier et proposer des alternatives qui n’auraient pas les effets dramatiques et pénalisants que nos membres anticipent et voient se dessiner.
« Dans une industrie où l’interdépendance entre fournisseurs et distributeurs règne encore, les uns comme les autres font face à une responsabilité fondamentale, celle de créer et travailler dans un environnement et un contexte où tous puissent retrouver équilibre et bénéfice et ou les marges bénéficiaires soient viables pour les uns comme les autres. C’est à cette condition que le réseau assurera sa pérennité. » conclut Michael Merrithew, président du conseil d’administration de l’ACTA.
détail dans lequel évoluent ses membres ne peut survivre dans un contexte de 8 % de commission et est fortement préoccupée par l’effet d’entraînement que cette décision a commencé à provoquer.
Avant de prendre position et face aux inquiétudes de ses membres soulevées par l’annonce de Nolitours de plafonner les commissions à 8 %, l’ACTA a cherché à mieux comprendre la stratégie ayant mené à cette action et a en conséquence invité Philippe Sureau, Directeur Distribution chez Transat, a rencontrer les membres du Conseil Régional le 1er septembre dernier.
Soyons clair, le mandat de l’ACTA n’est pas d’intervenir dans les négociations d’affaires de ses membres mais de représenter l’industrie et d’en défendre les intérêts en vue de favoriser la création et le soutien des activités commerciales propice à l'épanouissement de l'industrie.
Or nous ne croyons pas qu’un cadre généralisé de 8% de commission puisse être propice à l’épanouissement de l’industrie.
« La question que nous posons est celle-ci : La stratégie autour du concept de mandant-mandataire vise à assainir le marché de la vente du voyage au Canada mais est-il nécessaire de s’attaquer aux marges bénéficiaires, déjà minces, pour faire valoir cette nouvelle approche, par ailleurs intéressante? Pourquoi choisir de pénaliser si fortement tout le réseau de ventes du détail qui constitue, et de loin, le principal canal de distribution de produits pour les grossistes, donc leur principal partenaire? » commente Jean Collette le président du Conseil régional de l’ACTA au Québec.
Pour l’ACTA, ces enjeux sont importants. Nous nous questionnons sur la valeur des récents
développements et nous invitons les propriétaires de produits à étudier et proposer des alternatives qui n’auraient pas les effets dramatiques et pénalisants que nos membres anticipent et voient se dessiner.
« Dans une industrie où l’interdépendance entre fournisseurs et distributeurs règne encore, les uns comme les autres font face à une responsabilité fondamentale, celle de créer et travailler dans un environnement et un contexte où tous puissent retrouver équilibre et bénéfice et ou les marges bénéficiaires soient viables pour les uns comme les autres. C’est à cette condition que le réseau assurera sa pérennité. » conclut Michael Merrithew, président du conseil d’administration de l’ACTA.