
Colin Hunter, président du conseil et Sam Char directeur exécutif du Groupe de Voyages Sunwing
En entrevue, Colin Hunter, président du conseil et Sam Char directeur exécutif du Groupe de Voyages Sunwing abordent la carrière parallèle de Colin Hunter et la saison qui s'en vient.
Le Groupe de Voyages Sunwing est entré dans sa huitième année d'opérations au Québec et le succès est toujours au rendez-vous, année après année. Parallèlement, la carrière de crooner du fondateur et président du conseil de Sunwing, Colin Hunter, est loin de ralentir, surtout ici au Québec. Après une excellente prestation au théâtre Rialto vendredi soir dernier, Colin Hunter se préparait à livrer lundi soir un concert, plus intime cette fois, devant les membres de l'ATAC (l'Association du Transport Aérien du Canada) réunis à l'hôtel Fairmont le Reine Élisabeth. Il sera en spectacle prochainement à Montréal entouré de 40 chanteurs du Montreal Jubilee Gospel Choir. Bref il ne chôme pas.
«Les Québécois semblent très réceptifs à mon style musical (le Swing), explique-t-il, et c'est un plaisir que de faire de la scène ici et ailleurs au Québec. Outre cette passion qui m'anime, je vois cela comme une autre façon de nous différencier comme compagnie ici au Québec, au même titre que ce que nous faisons dans le domaine de l'hôtellerie. Par exemple, à notre nouvelle propriété, le Royalton White Sands à Montego Bay, ouverte la semaine dernière, les voyageurs québécois seront heureux de retrouver la poutine au menu ! Et pas n'importe quelle poutine puisqu'elle a été élaborée par les chefs de notre partenaire québécois Culinair, qui fournit depuis des années les repas que nous offrons à bord de nos appareils».
Pour Sam Char, la carrière parallèle de Colin Hunter est un atout précieux. « En cette huitième année au Québec, je peux dire que tout est positif pour nous, autant du côté voyagiste que du côté show business , dit-il. Et Colin a été pour nous le meilleur des ambassadeurs. Il n'y a qu'à voir l'intérêt qu'il suscite dans les médias et les retombées positives que cela génère auprès du public et de l'industrie. Son aide depuis nos débuts au Québec il y a 8 ans a été très précieuse. Nous avons la chance de le voir souvent ici et en 2014 il sera au Québec en concert pratiquement à chaque mois ! Colin c'est notre arme secrète !»
Le Groupe de Voyages Sunwing est entré dans sa huitième année d'opérations au Québec et le succès est toujours au rendez-vous, année après année. Parallèlement, la carrière de crooner du fondateur et président du conseil de Sunwing, Colin Hunter, est loin de ralentir, surtout ici au Québec. Après une excellente prestation au théâtre Rialto vendredi soir dernier, Colin Hunter se préparait à livrer lundi soir un concert, plus intime cette fois, devant les membres de l'ATAC (l'Association du Transport Aérien du Canada) réunis à l'hôtel Fairmont le Reine Élisabeth. Il sera en spectacle prochainement à Montréal entouré de 40 chanteurs du Montreal Jubilee Gospel Choir. Bref il ne chôme pas.
«Les Québécois semblent très réceptifs à mon style musical (le Swing), explique-t-il, et c'est un plaisir que de faire de la scène ici et ailleurs au Québec. Outre cette passion qui m'anime, je vois cela comme une autre façon de nous différencier comme compagnie ici au Québec, au même titre que ce que nous faisons dans le domaine de l'hôtellerie. Par exemple, à notre nouvelle propriété, le Royalton White Sands à Montego Bay, ouverte la semaine dernière, les voyageurs québécois seront heureux de retrouver la poutine au menu ! Et pas n'importe quelle poutine puisqu'elle a été élaborée par les chefs de notre partenaire québécois Culinair, qui fournit depuis des années les repas que nous offrons à bord de nos appareils».
Pour Sam Char, la carrière parallèle de Colin Hunter est un atout précieux. « En cette huitième année au Québec, je peux dire que tout est positif pour nous, autant du côté voyagiste que du côté show business , dit-il. Et Colin a été pour nous le meilleur des ambassadeurs. Il n'y a qu'à voir l'intérêt qu'il suscite dans les médias et les retombées positives que cela génère auprès du public et de l'industrie. Son aide depuis nos débuts au Québec il y a 8 ans a été très précieuse. Nous avons la chance de le voir souvent ici et en 2014 il sera au Québec en concert pratiquement à chaque mois ! Colin c'est notre arme secrète !»

Colin Hunter
JMV: Comment se présente la saison ?
Colin Hunter: « Pour le moment ça se présente bien pour cet hiver mais dans notre business il y a tellement d'impondérables, d'évènements incontrôlables. Nous sommes en avance côté réservations au Québec mais je ne sais pas si ce sont des clients que nous gagnons sur nos concurrents ou si c'est le fait de gens qui avaient reporté leurs vacances l'an dernier et qui vont les prendre cette année. Côté concurrence, l'impact d'Air Canada Rouge reste à voir, cela dépendra de la nouvelle capacité qu'ils mettront sur le marché ».
Sam Char: « Avec 11 appareils basés au Québec et à Ottawa cet hiver, ( 7 à Montréal, 2 à Québec et 2 à Ottawa), l'Offre de Sunwing est sensiblement la même que l'an dernier. Nous consolidons ce que nous avons et nous sommes encore le seul transporteur à offrir 5 aéroports de départ au Québec. Nous sommes aussi les seuls à avoir un service à l'année longue au départ de Québec ».
Cette année, le voyagiste a ajouté Aruba, Grand Bahamas et Ixtapa à sa programmation mais il retire Roatan, sauf depuis Toronto, mais cette destination pourrait revenir en 2015.
« Saint Martin, que nous desservons à l'année, va très bien au même titre que Montego Bay que nous offrons aussi cette année au départ de Québec », signale Sam Char.
Au chapitre des nouveaux établissements contrôlés par le Groupe, on retrouve cette année le Royalton White Sands à Montego Bay et le Royalton Punta Cana Resort & Spa qui ouvre le mois prochain. A Freeport aux Bahamas, les travaux vont bon train sur le Royalton Grand Bahama Resort & Casino (ex-Radisson) dont l'ouverture est prévue pour fin janvier 2014. « les réservations sont déjà très prometteuses » signale Colin Hunter. « Nous desservons cette destination depuis 5 aéroports canadiens dont Montréal. Par ailleurs, le transporteur Bahamas Air va exploiter un avion en wet lease pour emmener de la clientèle des États-Unis et il est probable que l'établissement profite également de vols depuis la Grande Bretagne en 2015. Nous travaillons également sur un Royalton de 1200 chambres, une nouvelle construction à Puerto Moralès, à 20 minutes de l'aéroport de Cancun, et nous avons les yeux sur un établissement de 500 chambres sur lequel je ne peux vous en dire davantage ».
Colin Hunter: « Pour le moment ça se présente bien pour cet hiver mais dans notre business il y a tellement d'impondérables, d'évènements incontrôlables. Nous sommes en avance côté réservations au Québec mais je ne sais pas si ce sont des clients que nous gagnons sur nos concurrents ou si c'est le fait de gens qui avaient reporté leurs vacances l'an dernier et qui vont les prendre cette année. Côté concurrence, l'impact d'Air Canada Rouge reste à voir, cela dépendra de la nouvelle capacité qu'ils mettront sur le marché ».
Sam Char: « Avec 11 appareils basés au Québec et à Ottawa cet hiver, ( 7 à Montréal, 2 à Québec et 2 à Ottawa), l'Offre de Sunwing est sensiblement la même que l'an dernier. Nous consolidons ce que nous avons et nous sommes encore le seul transporteur à offrir 5 aéroports de départ au Québec. Nous sommes aussi les seuls à avoir un service à l'année longue au départ de Québec ».
Cette année, le voyagiste a ajouté Aruba, Grand Bahamas et Ixtapa à sa programmation mais il retire Roatan, sauf depuis Toronto, mais cette destination pourrait revenir en 2015.
« Saint Martin, que nous desservons à l'année, va très bien au même titre que Montego Bay que nous offrons aussi cette année au départ de Québec », signale Sam Char.
Au chapitre des nouveaux établissements contrôlés par le Groupe, on retrouve cette année le Royalton White Sands à Montego Bay et le Royalton Punta Cana Resort & Spa qui ouvre le mois prochain. A Freeport aux Bahamas, les travaux vont bon train sur le Royalton Grand Bahama Resort & Casino (ex-Radisson) dont l'ouverture est prévue pour fin janvier 2014. « les réservations sont déjà très prometteuses » signale Colin Hunter. « Nous desservons cette destination depuis 5 aéroports canadiens dont Montréal. Par ailleurs, le transporteur Bahamas Air va exploiter un avion en wet lease pour emmener de la clientèle des États-Unis et il est probable que l'établissement profite également de vols depuis la Grande Bretagne en 2015. Nous travaillons également sur un Royalton de 1200 chambres, une nouvelle construction à Puerto Moralès, à 20 minutes de l'aéroport de Cancun, et nous avons les yeux sur un établissement de 500 chambres sur lequel je ne peux vous en dire davantage ».

Colin Hunter en spectacle au Théâtre Rialto
Sunwing contrôle en ce moment 8000 chambres dont 3000 à Cuba et ne compte pas en rester là. «Nous transportons 1,4 millions de passagers par année et nous souhaitons avoir plus de capacité hôtelière dans les destinations à haut volume afin d'y développer le produit que nous croyons le meilleur pour notre clientèle canadienne et pour celle qui viendra d'Europe durant les mois d'été.»
« Les investissements hôteliers vont être payants» commente Sam Char. Il suffit de voir la montée en puissance des pays du Bric en matière de tourisme. Comme les Canadiens, ils apprécient les Caraïbes. C'est important pour nous de nous assurer de la disponibilité d'une bonne capacité hôtelière pour le marché canadien maintenant et pour le futur ».
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JMV :Que pensez-vous de l'initiative de Vacances Sunquest qui offre des forfaits au départ d'aéroports frontaliers américains ?
C.H. « Nous y avions déjà pensé, il est possible qu'il y ait un bon potentiel mais il me semble qu' avec cette proposition il y a beaucoup de temps perdu pour les passagers, surtout en hiver avec l'état des routes. De plus, depuis ces aéroports les clients doivent souvent faire une escale ou deux pour se rendre à leur destination finale».
JMV: Vous allez passer de 5 agents de bord à 4 agents de bord sur vos appareils, quel est l'impact de cette mesure ?
C.H. « Tout d'abord, le ratio de 1 agent de bord par 50 passagers ne pose aucun problème de sécurité et ensuite, dans la mesure ou Westjet va de l'avant avec ce ratio, les acteurs de l'industrie doivent prendre des mesures pour demeurer concurrentiels. Vous ne pouvez pas rester les bras croisés »
JMV : Ou en est le dossier des vols long-courriers ?
C.H. « Quand nous regardons les chiffres ils ne s'additionnent pas favorablement pour nous pour ce genre d'opération pour l'instant . Nous avons fait l'essai avec un appareil et un équipage loué et cela n'a pas été satisfaisant.»
JMV : La nouvelle réglementation sur la location d'avions avec équipage étranger affecte-t-elle vos opérations ?
C.H. « Ce problème est réglé et il n'affecte pas nos opérations. Nous exploitons 32 appareils cette année. L'important pour l'avenir c'est que les nouvelles réglementations soient claires, qu'elles soient de part et d'autre communiquées au bon moment et que tout le monde les suive. »
JMV : Quelle est votre principale préoccupation à l'aube de cette nouvelle saison ?
C.H. « Le principal défi c'est de toujours pouvoir s'assurer de la qualité des prestations à destination. Heureusement nous avons dans nos rangs de vrais professionnels de l'hôtellerie. Cela dit, une très bonne nouvelle c'est le succès que nous rencontrons avec notre partenaire exclusif RIU. Les établissements RIU étaient très appréciés et reconnus à Toronto et dans l' Ouest mais moins au Québec. Et en s'associant avec nous, cet excellent produit est devenu plus abordable grâce notamment à nos coûts aériens inférieurs. De plus, RIU vient d'être reconnue comme chaîne hôtelière préférée du public québécois dans un récent sondage. C'est une étape importante pour nous.»
JMV Comment voyez vous le futur ?
C.H. « Personne n'a de boule de Crystal. Je suis trop jeune et mon fils Stephen est trop jeune pour se retirer. Plus que l'argent, l'important dans la vie c'est d'avoir des défis à relever. Ou sera la compagnie dans 10 ans? Impossible de prévoir, cela dépendra beaucoup de nos opérations aux États-Unis, de nos développements hôteliers, des opportunités en matière de croisières, il y a une pléthore d'opportunités mais tout dépend de la façon dont nous allons gérer notre développement et notre expansion. Cela dit, nous privilégions la qualité du produit plutôt que les parts de marché. Nous voulons être fiers du produit que nous présentons au public.»
S.C.: « Comme compagnie, comme employé nous avons beaucoup de chance que Colin puisse passer le flambeau à son fils Stephen ce qui assure la pérennité de l'entreprise. L'équipe de direction de Sunwing a très peu changé depuis les débuts il y a 11 ans. Il faut savoir aussi que Sunwing n'a jamais bénéficié d'aides publiques, c'est important de le dire au consommateurs, tous ces investissements sont privés, l'argent est venu directement des poches de Colin Hunter.»
C.H. « Quand j'ai quitté Canada 3000 on m'a racheté mes actions et j'ai mis cet argent de côté pour un investissement futur. Le 11 septembre 2001 a provoqué une contraction de l'industrie, au point où l'offre était inférieure à la demande. Des avions étaient cloués au sol, plus personne ne voulait investir dans le voyage, il y avait un vide à remplir. C'était le bon timing pour lancer Sunwing !».
JMV Un message pour les agents de voyages ?
C.H.« je veux les remercier car sans eux nous ne serions pas où nous sommes. Passer de 15 millions $ de chiffre d'affaire au début à 1.5 milliards en 2013, ce n'est pas rien ! »
S.C. « Les agents de voyages ont été de bons partenaires pour nous durant les 8 dernières années. Nous leur offrons une large gamme de produits différenciés, de destinations et d'aéroports de départ et nous allons continuer dans cette voie. Chez nous ils ne seront jamais un numéro avec un chiffre d'affaire, même si cet élément est important. Nous demeurons une entreprise familiale avec peu de bureaucratie et nous serons toujours là pour les écouter et pour suivre leurs recommandations afin d'adapter nos offres aux besoins de leurs clients.»
« Les investissements hôteliers vont être payants» commente Sam Char. Il suffit de voir la montée en puissance des pays du Bric en matière de tourisme. Comme les Canadiens, ils apprécient les Caraïbes. C'est important pour nous de nous assurer de la disponibilité d'une bonne capacité hôtelière pour le marché canadien maintenant et pour le futur ».
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JMV :Que pensez-vous de l'initiative de Vacances Sunquest qui offre des forfaits au départ d'aéroports frontaliers américains ?
C.H. « Nous y avions déjà pensé, il est possible qu'il y ait un bon potentiel mais il me semble qu' avec cette proposition il y a beaucoup de temps perdu pour les passagers, surtout en hiver avec l'état des routes. De plus, depuis ces aéroports les clients doivent souvent faire une escale ou deux pour se rendre à leur destination finale».
JMV: Vous allez passer de 5 agents de bord à 4 agents de bord sur vos appareils, quel est l'impact de cette mesure ?
C.H. « Tout d'abord, le ratio de 1 agent de bord par 50 passagers ne pose aucun problème de sécurité et ensuite, dans la mesure ou Westjet va de l'avant avec ce ratio, les acteurs de l'industrie doivent prendre des mesures pour demeurer concurrentiels. Vous ne pouvez pas rester les bras croisés »
JMV : Ou en est le dossier des vols long-courriers ?
C.H. « Quand nous regardons les chiffres ils ne s'additionnent pas favorablement pour nous pour ce genre d'opération pour l'instant . Nous avons fait l'essai avec un appareil et un équipage loué et cela n'a pas été satisfaisant.»
JMV : La nouvelle réglementation sur la location d'avions avec équipage étranger affecte-t-elle vos opérations ?
C.H. « Ce problème est réglé et il n'affecte pas nos opérations. Nous exploitons 32 appareils cette année. L'important pour l'avenir c'est que les nouvelles réglementations soient claires, qu'elles soient de part et d'autre communiquées au bon moment et que tout le monde les suive. »
JMV : Quelle est votre principale préoccupation à l'aube de cette nouvelle saison ?
C.H. « Le principal défi c'est de toujours pouvoir s'assurer de la qualité des prestations à destination. Heureusement nous avons dans nos rangs de vrais professionnels de l'hôtellerie. Cela dit, une très bonne nouvelle c'est le succès que nous rencontrons avec notre partenaire exclusif RIU. Les établissements RIU étaient très appréciés et reconnus à Toronto et dans l' Ouest mais moins au Québec. Et en s'associant avec nous, cet excellent produit est devenu plus abordable grâce notamment à nos coûts aériens inférieurs. De plus, RIU vient d'être reconnue comme chaîne hôtelière préférée du public québécois dans un récent sondage. C'est une étape importante pour nous.»
JMV Comment voyez vous le futur ?
C.H. « Personne n'a de boule de Crystal. Je suis trop jeune et mon fils Stephen est trop jeune pour se retirer. Plus que l'argent, l'important dans la vie c'est d'avoir des défis à relever. Ou sera la compagnie dans 10 ans? Impossible de prévoir, cela dépendra beaucoup de nos opérations aux États-Unis, de nos développements hôteliers, des opportunités en matière de croisières, il y a une pléthore d'opportunités mais tout dépend de la façon dont nous allons gérer notre développement et notre expansion. Cela dit, nous privilégions la qualité du produit plutôt que les parts de marché. Nous voulons être fiers du produit que nous présentons au public.»
S.C.: « Comme compagnie, comme employé nous avons beaucoup de chance que Colin puisse passer le flambeau à son fils Stephen ce qui assure la pérennité de l'entreprise. L'équipe de direction de Sunwing a très peu changé depuis les débuts il y a 11 ans. Il faut savoir aussi que Sunwing n'a jamais bénéficié d'aides publiques, c'est important de le dire au consommateurs, tous ces investissements sont privés, l'argent est venu directement des poches de Colin Hunter.»
C.H. « Quand j'ai quitté Canada 3000 on m'a racheté mes actions et j'ai mis cet argent de côté pour un investissement futur. Le 11 septembre 2001 a provoqué une contraction de l'industrie, au point où l'offre était inférieure à la demande. Des avions étaient cloués au sol, plus personne ne voulait investir dans le voyage, il y avait un vide à remplir. C'était le bon timing pour lancer Sunwing !».
JMV Un message pour les agents de voyages ?
C.H.« je veux les remercier car sans eux nous ne serions pas où nous sommes. Passer de 15 millions $ de chiffre d'affaire au début à 1.5 milliards en 2013, ce n'est pas rien ! »
S.C. « Les agents de voyages ont été de bons partenaires pour nous durant les 8 dernières années. Nous leur offrons une large gamme de produits différenciés, de destinations et d'aéroports de départ et nous allons continuer dans cette voie. Chez nous ils ne seront jamais un numéro avec un chiffre d'affaire, même si cet élément est important. Nous demeurons une entreprise familiale avec peu de bureaucratie et nous serons toujours là pour les écouter et pour suivre leurs recommandations afin d'adapter nos offres aux besoins de leurs clients.»