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Les Québécois sont incertains des pratiques du pourboire et des usages locaux à l'étranger

− Selon le sondage Carte TD Classe ultime Voyages sur les règles d'étiquette à l'étranger, 70 % des Québécois voyageront cet été, mais ils sont 57 % à être incertains des pratiques du pourboire −



Communiqué de carte TD ultime Voyages

Qu'il s'agisse de calculer un pourboire au Mexique ou mâcher de la gomme à Singapour, de nombreux Québécois avouent leur confusion et leurs erreurs occasionnelles concernant les pratiques du pourboire et les usages locaux lorsqu'ils sont en vacances à l'étranger, selon le sondage Carte TD Classe ultime Voyages sur les règles d'étiquette à l'étranger.

Le sondage révèle que 70 % des Québécois prévoient voyager cet été, dont 32 % à l'extérieur du Canada. Même s'ils aiment découvrir de nouvelles destinations et cultures, de nombreux Québécois avouent qu'ils sont incertains ou perplexes (57 % et 15 % respectivement) concernant les pratiques en matière de pourboires, gratifications ou frais de service à l'extérieur du pays.

« Si les voyages offrent d'extraordinaires expériences de vie, ce n'est pas vrai des notes comportant des charges inattendues ou des mauvaises surprises pour votre budget, affirme Julie Frange, directrice, Centre de contact, Cartes de crédit, TD Canada Trust. Une bonne carte de primes-voyages vous donne la souplesse requise pour échanger vos points contre tous frais de voyage, notamment les pourboires, et vous aide à respecter votre budget. »

Selon le sondage, les Canadiens considèrent qu'il est important de respecter son budget en voyage : 71 % d'entre eux qui avaient accumulé des primes-voyages dans les 12 derniers mois affirment que leurs points sont l'un des facteurs leur permettant de faire un voyage cette année. La connaissance des usages locaux, ayant trait aux pourboires notamment, peut aussi aider à tirer le meilleur parti de son budget de voyage.

Les pourboires en voyage

Perplexes sur les normes en matière de pourboires, 36 % des Québécois avouent privilégier la prudence en donnant aux fournisseurs de services à l'étranger les mêmes pourboires qu'au pays, soit entre 10 % et 15 %.

« C'est parfois compliqué et frustrant d'avoir à laisser un pourboire dans une devise peu familière, parce que la norme diffère selon le pays. Par exemple, l'on donne habituellement entre 15 % et 20 % aux serveurs aux États-Unis, alors qu'en Europe, le service est souvent compris dans l'addition et qu'en Australie, aucun pourboire n'est donné, explique Julie Frange. Avant de partir à l'étranger, il est recommandé de vérifier ce qui se fait généralement. Cela peut être embarrassant de donner trop peu. Toutefois, si l'on donne des pourboires trop généreux, c'est le budget qui s'en ressent. »

Éviter les impairs culturels à l'étranger

Lorsqu'on leur a demandé des exemples d'impairs culturels à l'étranger, bon nombre de Québécois ont donné des réponses erronées. Par exemple, deux tiers des Québécois (68 %) croyaient que les Argentins prennent leur repas tôt le soir et 72 % pensaient qu'il est acceptable de partager l'addition à Paris.

Par contre, la majorité savait qu'il est interdit de mâcher de la gomme à Singapour (53 %) et qu'il est malséant de sourire dans certains sites historiques du Vietnam (84 %).

« Les usages locaux peuvent être très différents d'un pays à l'autre, il est donc important d'apprendre les convenances sociales avant de partir, recommande Julie Frange. Au Mexique par exemple, les commerçants dans les marchés locaux s'attendent à négocier les prix, alors qu'à certains endroits, comme à Paris, il est très mal vu de discuter d'argent. »

En matière d'immersion culturelle, les Québécois sont partagés. Ils sont nombreux (61 %) à vouloir découvrir les sites d'intérêt d'un nouveau pays sans renoncer aux conforts auxquels ils sont habitués, 18 % aiment bien s'immerger dans la culture locale, et 21 % préfèrent se détendre dans un centre de villégiature plutôt que de vivre des expériences culturelles.

« Que vous préfériez des voyages d'exploration ou vous détendre dans un lieu de villégiature, assurez-vous de tirer pleinement parti de votre programme de primes-voyages en utilisant une carte de crédit qui vous permet d'utiliser vos points pour réserver n'importe quel voyage auprès de l'agence de votre choix, et la souplesse voulue pour que vos points servent à la réservation de votre mode de transport préféré, que ce soit le train, l'avion ou l'automobile », explique Mme Frange.

Au sujet du sondage TD Classe ultime Voyages sur les règles d'étiquette à l'étranger :

Entre le 30 mars et le 5 avril 2011, un sondage omnibus national a été mené en ligne par Research House auprès de 1 000 Canadiens d'âge adulte, dont 250 provenaient du Québec.

(source: communiqué de TD)

Mardi 17 Mai 2011 - 10:55






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